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Envisager l’échouage avec un monocoque

Monocoque ne signifie pas forcément quillard.

Lors du choix du voilier et de la préparation de votre croisière, en particulier en Bretagne, il peut être pertinent de vous poser la question du tirant d’eau et donc d’un voilier plus polyvalent en termes de destinations.

En effet, un tirant d’eau réduit vous permettra d’accéder à des mouillages plus sauvages et même d’envisager l’échouage.
Examinons ensemble les options qui s’offrent à vous :

Les dériveurs, des bateaux polyvalents

Le dériveur est un type de bateau idéal pour accéder à des mouillages peu profonds. Il se distingue par sa quille rétractable ou inexistante.

dériveur lesté

Le dériveur lesté

Voiliers hybrides, les dériveurs lestés eux sont une évolution d’une version quillard.
Ici on garde une petite quille dans laquelle circule une dérive manœuvrée depuis le pont comme sur les dériveurs intégraux.
Le lest étant plus bas on a donc besoin de moins de poids pour une stabilité optimale.
A l’échouage le bateau se pose sur le trépied composé par la quille et les 2 safrans qui font office de béquille.
Le chantier Jeanneau en a une parfaite maitrise avec notamment Le Sun Odyssey 319 DL (0.75/1.90 m) et le Sun Odyssey 389 DL ( Tirant d’eau 1.40/ 2.25 m).

Le dériveur intégral

Dans le concept de dériveur intégral on supprime la quille.
Une dérive mobile prend place au centre du bateau, le lest est réparti sur le fond de coque et le poids est augmenté pour garder une bonne stabilité.
Cette formule offre des tirants d’eau très réduits même dérive haute.
A l’échouage le bateau se pose sur son fond de coque renforcé à cet effet.
Le meilleur exemple est le Feeling 32 DI des chantiers Kirié (Tirant d’eau 0.85/1.85 m).
Conçu à l’origine comme dériveur intégral il propose un très bon niveau de performance qui en fait un voilier très prisé des grands voyageurs adeptes des mouillages d’échouages, des rivières et autre lagons inaccessibles aux quillards.

dériveur integral
biquille

Le biquille

Le biquille remplace la quille traditionnelle par deux ailerons qui reçoivent le lest, permettant ainsi au voilier de rester stable à l’échouage.
Le tirant d’eau reste fixe autour de 1.60 m comme sur les Django 9.80 par exemple.

Si l’accès au mouillage est moins facile du fait du tirant d’eau, l’échouage est simple et confortable.
En termes de performance, le biquille offre des résultats très proches de ceux d’un quillard.

La quille relevable

En mettant la quille en position basse cela confère au voilier une grande raideur à la toile.
Ajouté à cela une stabilité de forme radicale, vous avez un parfait cocktail de performance.
Grâce à la fonction relevable de la quille, ces voiliers peuvent accéder à des mouillages peu profonds sans sacrifier leur efficacité en mer. Cependant, pour s’échouer, ils nécessitent l’ajout de béquilles pour garantir leur stabilité.
Sur les POGO 36 par exemple le tirant d’eau passe de 2.95 m à 1.20 m.
On retrouve ces mêmes caractéristiques sur le Sun Odyssey 349 (Tirant d’eau 2.50/1.30 m).

Quille relavable

Nos conseils pour bien choisir votre voilier

En résumé, on choisira un baroudeur tout terrain comme le Feeling 32 di ou un dériveur lesté comme le Sun Odyssey 389 DL pour des croisières dont les exigences seront les accès aux plus beaux mouillages même reculés qui ne manquent pas en Bretagne et dans le Morbihan en particulier.
Pour les biquilles version aileron comme le Django 9.80 le programme sera plus placé sur la polyvalence.
Dans le cas des quilles relevables comme sur le POGO 36, on est clairement dans la performance.
L’échouage ne sera qu’occasionnel et dans des conditions bien spécifiques.

Vous souhaitez réserver un voilier ?

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En effet, un tirant d’eau réduit vous permettra d’accéder à des mouillages plus sauvages et même d’envisager l’échouage.
Examinons ensemble les options qui s’offrent à vous :

Les dériveurs, des bateaux polyvalents

Le dériveur est un type de bateau idéal pour accéder à des mouillages peu profonds. Il se distingue par sa quille rétractable ou inexistante.

Le dériveur lesté

dériveur lesté

Voiliers hybrides, les dériveurs lestés eux sont une évolution d’une version quillard.
Ici on garde une petite quille dans laquelle circule une dérive manœuvrée depuis le pont comme sur les dériveurs intégraux.
Le lest étant plus bas on a donc besoin de moins de poids pour une stabilité optimale.
A l’échouage le bateau se pose sur le trépied composé par la quille et les 2 safrans qui font office de béquille.
Le chantier Jeanneau en a une parfaite maitrise avec notamment Le Sun Odyssey 319 DL (0.75/1.90 m) et le Sun Odyssey 389 DL ( Tirant d’eau 1.40/ 2.25 m).

Le dériveur intégral

dériveur integral

Dans le concept de dériveur intégral on supprime la quille.
Une dérive mobile prend place au centre du bateau, le lest est réparti sur le fond de coque et le poids est augmenté pour garder une bonne stabilité.
Cette formule offre des tirants d’eau très réduits même dérive haute.
A l’échouage le bateau se pose sur son fond de coque renforcé à cet effet.
Le meilleur exemple est le Feeling 32 DI des chantiers Kirié (Tirant d’eau 0.85/1.85 m).
Conçu à l’origine comme dériveur intégral il propose un très bon niveau de performance qui en fait un voilier très prisé des grands voyageurs adeptes des mouillages d’échouages, des rivières et autre lagons inaccessibles aux quillards.

Le biquille

biquille

Le biquille remplace la quille traditionnelle par deux ailerons qui reçoivent le lest, permettant ainsi au voilier de rester stable à l’échouage.
Le tirant d’eau reste fixe autour de 1.60 m comme sur les Django 9.80 par exemple.

Si l’accès au mouillage est moins facile du fait du tirant d’eau, l’échouage est simple et confortable.
En termes de performance, le biquille offre des résultats très proches de ceux d’un quillard.

La quille relevable

Quille relavable

En mettant la quille en position basse cela confère au voilier une grande raideur à la toile.
Ajouté à cela une stabilité de forme radicale, vous avez un parfait cocktail de performance.
Grâce à la fonction relevable de la quille, ces voiliers peuvent accéder à des mouillages peu profonds sans sacrifier leur efficacité en mer. Cependant, pour s’échouer, ils nécessitent l’ajout de béquilles pour garantir leur stabilité.
Sur les POGO 36 par exemple le tirant d’eau passe de 2.95 m à 1.20 m.
On retrouve ces mêmes caractéristiques sur le Sun Odyssey 349 (Tirant d’eau 2.50/1.30 m).

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En résumé, on choisira un baroudeur tout terrain comme le Feeling 32 di ou un dériveur lesté comme le Sun Odyssey 389 DL pour des croisières dont les exigences seront les accès aux plus beaux mouillages même reculés qui ne manquent pas en Bretagne et dans le Morbihan en particulier.
Pour les biquilles version aileron comme le Django 9.80 le programme sera plus placé sur la polyvalence.
Dans le cas des quilles relevables comme sur le POGO 36, on est clairement dans la performance.
L’échouage ne sera qu’occasionnel et dans des conditions bien spécifiques.

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